Coup dur pour les fans…
Alors que l’on attendait avec impatience la saison 6 de Peaky Blinders, elle devrait arriver bien plus tard que prévu. Explications…
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Coup d’arrêt pour Tom Shelby
L’année 2020 s’annonce difficile pour l’industrie du cinéma. De nombreux tournages ont été suspendus à cause du coronavirus qui se propage dans le monde entier. Pire, dans certains pays comme l’Italie, l’Espagne ou encore la France, les salles de cinéma sont fermées jusqu’à nouvel ordre afin de préserver la population d’une éventuelle contamination. Ainsi, les plus cinéphiles et les plus sérivores d’entre nous pourraient passer de prochaines semaines très frustrantes…
Les mauvaises nouvelles s’accumulent. Alors que les annulations de tournage s’enchaînent, la dernière en date devrait chagriner des millions de téléspectateurs à travers le monde. En effet, alors que la saison 6 de Peaky Blinders devait entrer en production durant cette période, la menace du coronavirus a contraint l’équipe à revoir ses plans. Ainsi, le tournage est reporté à une date ultérieure – pas encore communiquée. Malheureusement, on ne devrait pas avoir droit à la suite des aventures rocambolesques de Thomas Shelby cette année… Rendez-vous en 2021 sur Netflix ?
Une gigantesque bibliothèque de films
Vous avez peur d’être en manque de contenus à visionner durant ces prochaines semaines de confinement ? On a la solution pour vous. Ceux qui sont abonnés à Netflix ou encore Amazon Prime Video ont probablement trouvé leur bonheur. Les plus pointus d’entre vous pourraient toutefois être lassés par un catalogue redondant… C’est là qu’entre en scène Open Culture. Le site a répertorié plus de 1100 films rares de quelques-uns des plus grands réalisateurs de l’histoire du cinéma. Y sont notamment disponibles les premiers oeuvres de Stanley Kubrick (Fear and Desire, 1953) et de Christopher Nolan, tout comme le projet de fin d’études de David Cronenberg ou encore des oeuvres de Tim Burton, Alfred Hitchcock ou encore Akira Kurosawa. Cerise sur le gâteau : tout est gratuit ! Il suffit simplement de se laisser guider et de maîtriser la langue de Shakespeare.
