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La série de Maes ? « C’est 80 % de réalité pour 20 % de fiction »

La série de Maes ? « C’est 80 % de réalité pour 20 % de fiction »

Il explique tout.

Alors que Maes se découvre dans un nouveau format, il a répondu à quelques questions sur une série qui passionne des centaines de milliers de spectateurs.

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Une série vraiment réelle ?

Pendant que Maes prépare la sortie de sa nouvelle mixtape Réelle vie 3.0 – sa sortie dans les bacs et sur toutes les plateformes de streaming est prévue vendredi 26 novembre – le rappeur originaire de Sevran (93) a accentué le teasing autour de sa web-série lancée il y a quelques semaines. Elle raconte l’histoire de l’artiste, de son enfance jusqu’à sa réussite actuelle, et surtout à quel point son parcours est lié aux affaires de la rue.

Pour Konbini, Maes a répondu à quelques questions, notamment à celle-ci : quelle est la part de réel et de fiction dans cette narration ? « La série, c’est 80 % de réalité pour 20 % de fiction. On a eu beaucoup tendance à édulcorer, à rendre les choses moins violentes, plutôt que d’aller très loin dans la noirceur de son histoire » a-t-il répondu. Ainsi, le rappeur et l’équipe travaillant sur la série ont décidé de passer sous silence quelques sombres péripéties de sa vie.

De plus, dans l’épisode 1, c’est un Maes jeune que l’on découvre, livrant des courses aux familles de son quartier en échange d’un peu d’argent. Comme il l’a révélé à Konbini, ce pan de l’histoire tire son origine de l’enfance d’un de ses amis, Marceau. « Il y a très peu de différences entre porter un sac de courses et un sac de ‘frappe’. C’était plus logique de faire cette mise en scène, plutôt que de me montrer moi qui travaille avec ma mère pour son camion de poulets rôtis. »

Cette expérience pour l’instant très réussie a donné quelques idées à Maes. Il a prévu de prendre sa retraite musicale dans trois projets, comme il l’a encore répété dans son dernier featuring sur l’album de Ziak. Et pourquoi pas pour les plateaux de cinéma ? « Si je pouvais faire une transition à un moment donné dans ma carrière du rap vers le cinéma, ce serait super. À mon sens, c’est plus beau de vieillir dans le cinéma que dans le rap. »

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