Le long-métrage de Yann Gozlan se dévoile un peu plus avec un visuel inédit.
Il y a certains films qui attirent directement l’attention, que ce soit par un pitch attractif ou un visuel qui met l’eau à la bouche. C’est le cas de Burn out, le film de Yann Gozlan, qui coche les deux cases. Avec une aura mystérieuse à la Drive et des scènes de conduite explosives à la sauce Fast & Furious, le long-métrage s’avance comme un des films d’action français à ne pas louper.
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Burn out, ou la double vie d’un biker
Attendu dans les salles obscures françaises le 3 janvier prochain, le film de Yann Gozlan s’avance comme l’une des curiosités du début d’année du côté du cinéma hexagonal. Burn out raconte l’histoire d’une tête brûlée, un amateur de sensations fortes et adepte des deux-roues. Poursuivant le jour le rêve de devenir pilote professionnel de moto superbike, il s’improvise la nuit tombée en go-faster pour tirer la mère de son fils des mains de la pègre manouche. Si le synopsis a de quoi séduire, le visuel dévoilé ne manque pas de piquant et laisse augurer un film d’action comme il en existe peu dans le cinéma français.
Un casting qui mise sur l’avenir
Avec seulement deux longs-métrages à son actif avant ce Burn out, Yann Gozlan s’entoure pour ce film d’un casting à son image : jeune et prometteur. A commencer par le rôle principal, interprété par François Civil, une tête déjà bien connue du public pour sa présence dans Five ou la série Dix pour cent. Il évoluera aux côtés de Manon Azem, aperçue brièvement dans la websérie En passant pécho et dont la voix est déjà marquée dans les esprits pour son doublage d’Hermione Granger dans les versions françaises de la saga Harry Potter. Ils seront entourés de figures plus expérimentées, à l’image d’Olivier Rabourdin, ou Samuel Jouy, qui a récemment réalisé le film Sparring avec Mathieu Kassovitz.
Burn out, un film qui pourrait bien transformer l’essai et se poser en rookie français du début d’année 2018. Réponse à partir du 3 janvier prochain.
