Ballin ? Et bien non.
L’interprète de l’hymne We Fly High est passé à côté de deux belles occasions. Celles de signer Drake et J.Cole, rien que ça.
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Deux ratés pour Jim Jones
Depuis la sortie de son 6ème album studio El Capo en 2019, Jim Jones occupe régulièrement l’espace médiatique. Cette fois, c’est pour évoquer deux opportunités manquées qu’il s’est exprimé. Et vu les ratés, il faut du courage pour oser en parler. Voyez plutôt : « Quand J.Cole était encore à l’université, il devait avoir 18 ou 19 ans, il est venu me voir. Un garçon humble et timide. Il ne pouvait même pas me regarder en face. Mais il savait rapper… A cette époque, je pensais que la musique devait refléter d’où vous veniez, et je ne voyais pas ça en Cole. C’était le genre de gamin qui disait « Maman, je vais être le plus grand rappeur du monde et je vais te sortir du quartier.« Nous étions ces garçons qui disions avoir besoin de crack pour pouvoir dealer, flamber et s’acheter de nouvelles baskets. »
Drake, un canadien impossible à marketer ?
Bref, première occasion manquée. La seconde est plus énorme encore : il n’a pas signé Drake quand bien même il a en eu l’opportunité, tout ça parce qu’il ne savait pas comment vendre « un acteur canadien ». Et dire que Capo aurait pu avoir sous son aile deux artistes reconnus au niveau mondial, dont un régulièrement comparé avec les plus grands de la pop.
