Funk Flex en remet une couche.
Flex ne lâche pas Hova. Après avoir pointé du doigt la susceptibilité du rappeur, il évoque cette fois ses supposées accointances avec Donald Trump.
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Les accusations sont lourdes : Funk Flex laisse entendre que Jay-Z a scellé un deal avec Trump afin d’obtenir la grâce de la PDG de Roc Nation Desiree Perez, tout comme Lil Wayne, Kodak Black ou encore le co-fondateur de Death Row Records Michael Harry O » Harris. Ceci étant, Flex n’a pas retenu ses coups en évoquant de nouveau Shawn Carter : « Félicitations à Jay-Z et à la PDG de Roc Nation pour la grâce accordée par Trump. […] Jay-Z a scellé un deal avec Trump, ne pas supporter Joe Biden en échange d’une grâce. »
Un personnage très controversé
Accusée d’être une balance, Perez aurait coopéré avec le bureau du Procureur de l’État après son arrestation en 1994. Au centre de nombreuses controverses, la PDG avait passé 9 mois en prison, en 1999.
Depuis sa grâce, elle s’est exprimée : « Je suis reconnaissante d’avoir reçu une grâce et d’avoir officiellement clos ce chapitre de ma vie aux yeux de la loi. J’ai assumé l’entière responsabilité de mes erreurs d’il y a 25 ans, mais je suis également très fière de mon évolution personnelle, de ma persévérance et de mes réalisations depuis lors. Cette grâce renforce mon engagement de toute une vie à défendre la réforme de la justice pénale et les initiatives de justice sociale. »
