Le Sauce God casse les frontières…
Après avoir clippé les morceaux Godzilla, Destiny’s Child et Vibes, Hamza s’est concentré sur un nouvel extrait de son album. Il s’agit ici de 1994, balancé donc chez les Allemands de Colors et non dans un visuel traditionnel. Un rendez-vous qui colle à la peau du personnage…
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Colors est devenu un passage obligé pour une certaine caste d’artistes urbains. Ceux qui parviennent à innover, à proposer du neuf. On rappelle que plusieurs francophones sont passés dans le fameux studio coloré de ce média berlinois : Isha, Sopico, Jok’air ou encore Siboy. Aujourd’hui, place donc à un autre talent, Hamza. Le Belge a ainsi proposé son titre 1994, sans doute l’un des plus introspectifs de son album du même nom.
Le format de Colors colle parfaitement au délire, de quoi faire encore parler de son projet. Un album qu’Hamza avait jugé comme un « nouveau départ » lors d’une rencontre à Bruxelles avec les équipes de Booska-P :
« Dans cet album, je raconte plus de trucs. Même le titre de mon projet est personnel, 1994 c’est mon année de naissance. Pour moi, c’était comme un nouveau départ« .
Hamza, toujours dans les bons coups
Dans ceux qui dictent la tendance et les chemins musicaux à suivre, Hamza est souvent cité en premier. Le tout grâce à une volonté de briser les barrières et d’assumer une musique qui lorgne plus vers le chant que le rap pur et dur. Ici, pas forcément de punchlines, mais un storytelling maîtrisé, avec lequel le Bruxellois parvient à nous faire voyager. Son passage chez Colors, chaîne prisée des trend setters de la toile, vient confirmer l’aura d’un artiste décidément toujours dans les bons coups.
