Un nouveau jour, un nouveau rappeur en faillite…
Le Papa Farceur de Miami rejoint donc lui aussi la (longue) liste des rappeurs qui connaissent des difficultés de trésorerie en se plaçant sous la protection du chapitre 11 du régime des faillites selon TMZ.
Pourtant à première vue sa situation est loin d’être catastrophique. Trick Daddy possède 430 000$ de biens propres et continue d’engranger 14 500$ de revenus mensuels grâces aux royalties et aux shows qu’il donne dans les clubs. Il faut dire que sa carrière compte une jolie collection de hits : Let’s Go, I’m a Thug, Shut Up, Nann N****….
Mieux il ne dépense que 550$ par mois en vêtement et joailleries, un record pour un rappeur… Et pourtant ses comptes sont dans le rouge, et pas qu’un peu : il est redevable de 645 000$ ! La faute à ses trois baby mamas qui lui coutent près de 60 000$ mensuels en pensions alimentaire, à ses 290 000$ d’arriérés fiscaux et un prêt à hauteur de 280 000$.
Enfants à charge, impôts, vie à crédit… soient le combo fatal qui a mis plus d’un rappeur sur la paille avant lui. Une situation d’autant plus embarrassante, car tout porte à croire qu’il ne retrouvera jamais son lustre d’antan. En 2014 il avait été arrêté pour possession d’armes et cocaïne. Le mug shot pris à l’époque en avait choqué plus d’un…
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