La preuve en photo…
Zlatan Ibrahimovic, un personnage particulier, toujours à limite de l’insolence (ou carrément dedans), professionnel émérite, renégat du petit monde du ballon rond et star des années 2010.
La Major League Soccer, un championnat aux règles bien spéciales loin de ce qui se fait dans nos contrées, notamment en ce qui concerne les designated players ou encore les fameux play-off…
Et quand les deux se rencontrent, le système tortueux de la MLS et le caractère bien trempé de Zlatan, ça fait des étincelles… Retour sur l’élimination de l’attaquant suédois avec son Los Angeles Galaxy, qui a entraîné une réaction un poil trop prononcée au goût du chaste public américain.
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Une élimination au terme d’un derby complètement dingue
Hier se tenait l’une des demi-finales de la conférence ouest de la Major League Soccer, opposant deux grosses écuries : le Los Angeles FC et le Los Angeles Galaxy. Deux entités qui se partagent la cité des anges et deux stars, Carlos Vela côté LAFC et Zlatan Ibrahimovic chez les galactiques. Et si l’ancien du PSG a marqué un but, il s’est incliné face au Mexicain qui lui en a marqué deux… Mais a surtout remporté le match 5-3 au California Stadium.
De quoi avoir les boules, selon une expression d’une vulgarité sans nom. Et justement, à sa sortie de la pelouse, le Z n’a rien trouvé de mieux que de s’attraper le paquet tout en toisant un fan du LAFC un peu trop heureux de la victoire des siens. Désormais, à vous de juger si c’est de bon goût…
Source : RMC Sport
Retour en Serie A pour Ibra ?
Visiblement pas enchanté à l’idée de poursuivre l’aventure aux USA, Zlatan pourrait revenir sur une terre qu’il connaît bien, l’Italie. Ces derniers temps, la presse transalpine lui a prêté des contacts avec deux clubs, Bologne et le Napoli. A 38 ans, peut-il encore rendre de précieux services dans un top championnat européen ?
Lui a choisi de mettre un peu d’huile sur le feu, une vieille habitude : « Pour l’année prochaine, je ne sais pas encore. Si je reste, la MLS se portera bien parce que tout le monde s’y intéressera. Si je pars, personne ne se souviendra que la MLS existe ».