Un pays fou de foot, évidemment…
En France, la question a été tranchée, plus de foot jusqu’à nouvel ordre… Au mois d’août pour être précis. La saison 2019 / 2020 de Ligue 1 a trouvé son vainqueur, le Paris Saint-Germain, ses qualifiés en Ligue des champions, l’Olympique de Marseille et le Stade Rennais. Le tout sans oublier ses relégués que sont Toulouse et Amiens. Et si certains présidents de clubs contestent l’arrêt du football hexagonal, ils devraient aujourd’hui se poser encore plus de questions en regardant vers la Turquie…
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La Turquie, fidèle au poste
C’est un fait, la Turquie est un pays connu pour sa culture riche, des villes magnifiques et une grosse culture foot. Avec une ambiance dingue dans ses stades et des supporters qui répondent toujours présent, la Turquie d’être une vraie terre de foot. Et à en juger par la popularité folle de clubs tels que Fenerbahçe, Galatasaray, Besiktas et consorts, les suiveurs locaux du ballon rond ont dû basculer dans la folie suite à la suspension de la Superlig le 19 mars dernier.
Reconnu comme ayant un bienfait sur la population par différents experts du coin, le football reprendra donc bientôt ses droits malgré la crise du coronavirus. Comme nous l’apprend L’Equipe, Nihat Ozdemir, le président de la Fédération turque de football (TFF) n’est pas passé par quatre chemins au moment d’évoquer une reprise : « À ce stade, nous avons pris la décision de redémarrer les Ligues professionnelles […] aux dates des 12, 13 et 14 juin. »
De quoi donner des idées aux autres championnats européens malgré les risques ou décision suicidaire ? L’avenir en jugera…
