Une équipe de France éclectique…
Que ce soit en salle de musculation, dans le bus ou en avion le casque vissé sur les oreilles, les Bleus vivent et bossent avec en musique. Des sonorités actuelles ou vintage, sur lesquelles le journal L’Equipe a décidé d’enquêter.
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Tous les goûts sont chez les Bleus !
En conférence de presse, Steven Nzonzi a abordé la question de la musique chez les Bleus en maniant la métaphore. Pour lui, si l’équipe de France fait confiance à KeBlack et Naza, ce n’est pas pour rien : « Le morceau On est équipé, c’est comme une manière de dire peut-être qu’on est prêts à se battre et à tout donner. »
Dans un vestiaire qui compte des joueurs évoluant aux quatre coins de l’Europe, les influences viennent de partout. Au rayon urbain, on peut citer Jul (grand pote de Benjamain Mendy), Seth Gueko ou encore le jeune rappeur Moums, dont Presnel Kimpembe est fan. Dans les oreilles de nos champions, on retrouve également les chanteuses Florina et Aya Nakamura, puis tout un tas de classiques qui vont de la France aux Etats-Unis en passant par l’Amérique du Sud, grâce notamment aux latinos du vestiaire évoluant en Espagne : Johnny Hallyday, Marvin Gaye, Bruno Mars, Drake, Rihanna, Beyoncé, Luis Fonsi et bien d’autres…
Une France remontée contre le Danemark ?
Aujourd’hui, la France aura à coeur de boucler sa phase de poule à la première place. Pour cela, il faudra au moins faire un nul contre le Danemark du sélectionneur Age Hareide. Un coach qui s’était payé les Bleus en mai dernier, souvenez-vous : « Je ne crois pas à cette équipe. Nous allons la rencontrer et je veux bien être damné si on ne lui donne pas du fil à retordre. Ils ont du talent, mais ils doivent fonctionner comme une équipe ! Or, chacun de ces joueurs va surtout avoir envie de briller sur un plan personnel. »
Tout récemment, il a d’ailleurs réédité ses propos en conférence de presse… De quoi motiver nos tricolores ?
« Le Pérou est peut-être l’équipe qui a pratiqué le meilleur football dans ce groupe. La France possède des joueurs de classe mondiale à chaque poste, mais ils n’ont pas réussi à imposer leur rythme ou leur supériorité face aux Péruviens. »
