Parmi les présidents les plus détestés de Bundesliga, l’entrepreneur pourrait bientôt devenir un héros aux yeux de ses détracteurs.
La scène se déroulait le 29 février dernier. En déplacement à Hoffenheim, Benjamin Pavard & co s’imposaient facilement face à la formation coachée par Alfred Schreuder et confortait sa place de leader de Bundesliga. Quinze minutes avant la fin de la rencontre, alors que les bavarois mènent déjà 6-0, le match est interrompu suite à une banderole insultante des supporters du Bayern présents dans l’enceinte. La banderole vise Dietmar Hopp, propriétaire du club de l’Ouest de l’Allemagne. Celui qui est à la tête du club depuis 1990 est très critiqué en Allemagne, à l’instar du RB Leipzig, pour avoir investi massivement pour Hoffenheim, équipe inconnue avant son arrivée. Au vu des dernières nouvelles, il se peut que l’Allemand devienne un héros…
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La société de Dietmar Hopp en passe de trouver un vaccin
C’est le journal allemand Der Spiegel qui fait cette annonce : selon le média, la société biopharmaceutique CureVac, dont le siège est situé à Tübingen, à 40 kilomètres de Stuttgart, serait sur le point de trouver un vaccin permettant de lutter contre le COVID-19. Toujours selon le média allemand, la société, dont Dietmar Hopp est l’actionnaire principal, aurait en effet trouvé un moyen d’atténuer de manière efficace les effets du coronavirus. Au vu de la propagation actuelle de la pandémie dans le monde entier, cet antidote pourrait sauver des milliers de vies. Cela pourrait aussi permettre à la 7ème plus grosse fortune du pays de se réconcilier avec les fans de football allemands.
L’exclusivité du vaccin refusée à Trump
L’histoire, déjà belle, aurait pu s’arrêter là. Mais selon un autre média allemand, Welt am Sonntag, le président du 9ème de Bundesliga aurait été contacté par les services de Donald Trump afin que les Etats-Unis achètent et possèdent en exclusivité le vaccin. Une idée directement refusée par l’homme de 79 ans malgré la manne financière proposée. Ce dernier aurait déclaré : « Si nous voulons développer un vaccin efficace contre le coronavirus, cette personne doit non seulement tendre la main aux personnes et les protéger, mais aussi être plus solidaires avec elles ». Un tacle au président américain, sans le citer. D’abord testé sur des animaux, le vaccin pourrait être disponible à l’automne prochain.
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