Performant dans la musique, Moha La Squale l’est également dans d’autres domaines..
C’est déjà le quatrième épisode de la Booska S’maine de Moha La Squale. Avant la sortie de son album Bendero, le vendredi 25 mai, découvrez le rappeur sous toutes ses coutures… Après le freestyle Booska Squale #2, un document sur sa vie avant le rap et un autre sur son ascension dans le game, place aujourd’hui à du neuf. Rendez-vous aujourd’hui avec des témoins qui analysent le « potentiel image » de l’artiste.
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Pourquoi les marques s’arrachent Moha ?
Faire l’unanimité au sein du public rap et auprès de marques, une sacrée performance signée Moha La Squale. Clairement sur une pente ascendante, son succès dans la musique se reflète dans d’autres domaines comme celui de la mode. En effet, il a notamment été invité au dernier défilé Lacoste. Il a également été sélectionné par Nike comme modèle pour la campagne de la Air Max 270. Des éléments qui font de lui une future coqueluche des marques…
Son image
Alexis Puterflam, directeur artistique du label Elektra : « De la même manière que tout le monde l’a remarqué dans la musique, c’est un peu pareil pour les marques. Il a ce truc assez immédiat, tu le vois, il dégage très vite quelque chose de fort. Il a ce package, musicalement, c’est bien, il a une belle image… Il a un peu de tout. Il s’exprime bien et c’est ça qui a joué aussi. Quelques interviews ont montré ça, il a un personnage qui parle aux gens, mais aussi aux marques ».
Le partenariat avec Nike
Yoan Prat, fondateur du magazine Yard : « Je pense que Nike se positionne sur des gars comme Moha, car ce qui est lourd avec lui, c’est qu’il a une authenticité, il a une gueule. C’est sa force aujourd’hui, il a une espèce de côté authentique, street, bad boy, mais aussi intelligent, smart ».
L’intérêt des marques et sa passion pour Lacoste
Moha La Squale : « Moi, ça me déplaît pas (rires) ! C’est un kif, mais c’est aussi l’aboutissement de ton travail. Tu te dis que tu ne bosses pas pour rien. Je travaille ça aussi, c’est bien de le mériter. Lacoste, c’est un rêve d’enfant, il y a un son dans l’album qui s’appelle René Croco. Dans la street, tout le monde portait du Lacoste, c’était beau et ce qui se voyait le plus ».
