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Max Paro a la tête sous l’eau comme une « Sirène » [VIDEOCLIP]

Max Paro a la tête sous l’eau comme une « Sirène » [VIDEOCLIP]

Le montreuillois nous dévoile un pan inédit de son univers !

Max Paro, le talent montreuillois qu’on avait notamment remarqué au cours d’un freestyle Planète Rap mémorable, est de retour avec un nouveau clip intitulé Sirène. L’occasion de se livrer, de s’ouvrir et de nous parler de ses hésitations, mais aussi de faire le point en vidéo sur sa participation à trois gros festivals en juin dans le cadre du tremplin RADAR ! Un condensé de talent qui incite plus que jamais à miser sur Max Paro…

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Une musicalité en évolution permanente

Le point fort de Max Paro, c’est sa capacité à mêler une maîtrise naturelle de la musicalité et une plume en constante progression. Le résultat se sent sur Sirène, un condensé de talent dans lequel le rappeur fait part de ses doutes, de ses hésitations et de son sentiment d’être entraîné tête la première dans une masse d’eau sans fond. Un titre impressionnant et révélateur du potentiel du rappeur originaire de Montreuil, mais aussi l’occasion pour lui de faire le point sur sa participation à trois gros festivals hexagonaux (le FISE, le Marvellous et les Solidays) dans le cadre du tremplin RADAR. L’ensemble est un parfait condensé de l’énergie de la scène et du spleen de l’univers de Max Paro, assorti de quelques images fortes.

J’entends le chant des sirènes, je sens le temps s’étirer

Transmettre des sentiments, le mot d’ordre de Max Paro

Sur Sirène comme sur plusieurs autres extraits, Max Paro chante un spleen contagieux porté par son sens aiguë de la mélodie et son talent pour l’écriture. Interviewé par Booska-P, il confiait : « Ce que je veux vraiment travailler, c’est le sentiment de la personne qui m’écoute. Je veux qu’elle ressente exactement les mêmes choses que moi au moment d’écrire ou de rapper. Pour arriver à ce résultat, je bosse d’une certaine façon. Je commence par trouver mon refrain, avant d’écrire mon texte en fonction de lui. J’ai une idée clef pour mon son et après, j’écris autour. C’est comme un puzzle, pour que tout s’assemble bien. Avant, je faisais le contraire en travaillant mes refrains à la fin, mais ça ne collait pas bien. Et il faut que tout soit corda. Un refrain, ça doit être pur, il faut qu’il est une belle mélodie, c’est ce que l’auditeur doit retenir. »

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