Le rappeur de Marseille est de retour pour un hors chapitre intitulé « Je dors pas ».
Après nous avoir délivré le projet « Kofstantine » en trois chapitres, dont le premier opus vient de passer le cap du million de vues, le nouvel élève de l’école du rap Marseillais est de retour pour nous faire patienter avec un hors chapitre.
Ils m’ont souhaité longue vie, je leur ai souhaité la mort
Réalisé une nouvelle fois par Comm, qui a également réalisé les trois premiers chapitres de la série, ce clip baptisé « Je dors pas » s’apparente plus à un freestyle. Cette fois-ci, il n’est pas question de mise en scène, on retrouve simplement le rappeur entouré de son équipe, armée jusqu’aux dents en bas d’un bâtiment. Si le clip ne suggère pas, comme les premiers chapitres de sa série, un univers très sombre, les simples paroles du rappeurs viennent rappeller ses penchants obscurs « à la frontière du satanisme » comme l’imaginent les nombreux commentaires sous ses derniers clips.
Mon prénom s’écrit sur les portes de l’enfer
Validé par les grands noms du Rap de la cité phocéenne comme Alonzo et entouré par la nouvelle génération – on remarque YL à ses cotés dans ce clip – le rappeur se lance à l’assaut du Rap-jeu avec des soutiens de poids. Sa voix grave et rauque vient appuyer ses textes violents et sans réelle demi-mesure. L’artiste dit ce qu’il pense, règle ses comptes sans passer par quatres chemins tout en évacuant sa haine à travers la musique. Après s’être introduit sur le grand écran dans le long-métrage « Chouf » imaginé et réalisé par Karim Dridi dans lequel il apparaît sous son vrai nom « Foued Nabba » ou sur le volume 4 de la Booska Pefra, avec son titre « Maître Cohen« , deuxième chapitre de la série « Kofstantine », Kofs continue donc de s’imposer petit à petit dans le paysage du Rap français.