GQ livre un document rare sur le rappeur et le créateur…
Il y a quelques jours, le magazine GQ débutait sa série King Of Bling dédiée à l’étonnant Philipp Plein. Aujourd’hui, le créateur allemand revient avec un troisième épisode dans lequel la lumière est mise sur Lacrim, sans doute l’un des rappeurs qui a le plus fait décoller la marque dans l’hexagone.
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Philipp Plein et Lacrim, un duo qui fonctionne
Philipp Plein est, pour certains, un personnage étrange. Surnommé le « roi du bling », le designer a réussi a amené sa marque au sommet, proposant un streetwear scintillant et rutilant. Dans l’hexagone, l’un de ses plus fervents supporters n’est personne d’autre que Lacrim. Un artiste à part, pilier du game, qui s’affiche régulièrement avec des créations siglées « PP ».
Voilà qui valait bien une interview pour GQ Magazine à Paris, dans laquelle Lacrim évoque ses liens avec la fameuse marque.
Je me lève, j’ai la vue sur la mer. Bébé j’dois raccrocher, il y a Philipp Plein qui m’appelle
« « Je me lève, j’ai la vue sur la mer. Bébé j’dois raccrocher, il y a Philipp Plein qui m’appelle« . Il fait beau, il y a le soleil. Mais mon coeur, il y a les affaires… C’est une punchline que mon public aime beaucoup. Quand je suis en concert, je ne chante pas la phrase. C’est le public qui la chante. A l’époque je me rappelle, j’avais fait un clip qui s’appelait ‘Carte de la Vieillesse’, où j’avais mis les modèles avec les gros requins, il y avait des gros requins imprimés.
Cela ne se faisait pas trop en France, sur n’importe quelle marque. Cela avait marqué, je me rappelle que quand je venais dans les boutiques, les vendeurs disaient que tous les jeunes venaient et demandaient le même modèle que Lacrim avait dans son clip. C’est une histoire d’identification et Lacrim dans sa musique, dans son créneau est crédible. Et je pense que la marque est crédible aussi. Il y a une crédibilité derrière tout ça ».