L’Italie ou le vivier du PSG…
Si on ne connaît toujours pas le nom de l’entraîneur qui prendra la succession d’Unai Emery sur le banc parisien, le PSG dévoile peu à peu ses plans pour la saison prochaine. Ainsi, c’est le milieu de terrain de la Juventus Turin, Miralem Pjanic, qui s’affiche comme la nouvelle cible des Rouge et Bleu. Selon la presse italienne, Paris est même prêt à faire des folies pour l’attirer dans ses filets !
À LIRE AUSSI
Nasser Al-Khelaïfi pourrait quitter la présidence du PSG
Un pont d’or pour Miralem Pjanic ?
Pour attirer Miralem Pjanic, le Paris Saint-Germain a choisi de sortir l’artillerie lourde. D’après les informations du Corriere della Sera, le club de la capitale voudrait offrir un contrat de 5 ans au Bosnien, avec un salaire annuel de 8 millions d’euros. Une sacrée offre qui pourrait séduire l’international, lui qui gagne actuellement 4,5 millions d’euros par an à la Juventus. On évoque également des contacts réguliers entre le PSG et l’agent du joueur, tout semble donc dans l’ordre pour le voir débarquer très bientôt en Ligue 1.
Petit problème cependant, il est lié jusqu’en 2021 avec la Vieille Dame, de quoi laisser planer le doute sur un énorme transfert cet été. Après avoir sorti le chéquier l’année dernière pour les signatures de Neymar Jr et Kylian Mbappé, le PSG se tourne vers un profil moins clinquant. Pjanic à l’avantage de bien connaître le championnat après des expériences à Metz et à Lyon. Il est aussi le garant d’une belle expérience en Ligue des Champions, avec une finale à son actif (2017).
Un changement à la présidence du club ?
Du côté du PSG, tout va changer nous dit-on depuis plusieurs semaines. Il faut dire que la défaite en Ligue des Champions face au Real Madrid a chamboulé les plans du club. L’institution, qui écrase tout sur le plan national cette année, devrait probablement changer de coach, mais aussi de président. Comme révélé il y a peu, c’est Nasser Al-Khelaïfi qui pourrait faire ses valises au profit de Joaan Bin Hamad Al Thani, le frère de Tamim Ben Hamad Al Thani, l’émir du Qatar.
