Le magazine GQ a consacré un reportage au créateur allemand.
Qu’est-ce que le succès ? Voilà le genre de questions philosophiques auxquelles Philipp Plein répond dans le premier épisode de la série King Of Bling signée GQ. L’original créateur allemand, qui se décrit avant tout comme un rêveur, a livré les secrets de son business dans une vidéo exclusive… Bienvenue dans les coulisses de l’entreprise Plein, entre glamour et sueur.
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Premier épisode de la série « King Of Bling »
Du siège de la marque PP à Lugano (Suisse) jusqu’à la fashion week de Paris, Philipp Plein garde le même credo : « Croire en ses rêves ». Désormais incontournable dans le monde de la mode, le créateur favori des rappeurs (on croise Lacrim dans la séquence ci-dessous) s’est particulièrement livré face aux caméras du magazine GQ. L’occasion de faire plus ample connaissance avec un type plus que jamais déterminé à réussir, comme il l’explique ici :
« Je travaille dans la mode, donc j’essaie de rester en bonne santé. Car même si je suis malade, je dois travailler, il y a une grosse machine derrière. Les gens voient toujours le glamour, les fêtes, mais ils ne voient pas ce qu’il en coûte d’en arriver là. Vous imaginez ce qui se passe quand vous avez un chiffre d’affaires de 300 millions d’euros ? »
Je ne crois pas en la chance. La chance, c’est pour les loosers. Si vous croyez en la chance, vous n’avez aucun autre espoir. Si vous travaillez dur, vous n’avez pas besoin de chance
Quand Philipp Plein se confie
Récemment, c’est au magazine de mode Antidote que l’Allemand s’est confié. Business model, rêves de grandeur et identité propre, le roi des strass s’est lâché, signant quelques belles sorties, comme par exemple celle-ci :
« J’ai assumé mon identité sans plus me soucier de ce que pensaient ces gens. Ils croient que vous les provoquez parce que vous refusez de vous adapter à leur système. Aujourd’hui, je me sers du système, j’en bénéficie tout en le critiquant, et nous faisons beaucoup d’argent grâce à lui ».
