Balenciaga puise son inspiration auprès d’une chaîne de supermarchés allemands…
Façonnée par le créateur de mode Demna Gvasalia, la nouvelle sneaker de l’écurie Balenciaga étonne à plus d’un titre. En marge de son coloris flashy, c’est son inspiration qui lui permet de se démarquer.
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Balenciaga, quand Demna Gvasalia ose
Flanquée de l’inscription «The Power of Dreams» («le pouvoir des rêves»), la sneaker tout juste lancée par la maison Balenciaga revendique une influence allemande. Plus précisément, le créateur Gvasalia est allé s’inspirer des codes graphiques des supermarchés Edeka, très populaires chez nos voisins européens. Affichant une robe jaune flashy, la chaussure a été dotée d’une semelle blanche et semble sacrément confortable à porter. Quand bien même elle vise un public féminin en priorité (ce qui ne devrait pas gêner outre-mesure les sneakerheads). Annoncé au tarif de 795 dollars, ce modèle rejoint la longue lignée des sneakers signées Balenciaga et se chargeant de prendre les codes actuels à rebrousse-poil.
La Balenciaga Triple S se prépare pour le printemps
En marge de cette sneaker inédite, Balenciaga capitalisera encore sur sa fameuse Triple S en 2018. Véritable carton de ces derniers mois, la chaussure à ranger dans la case des dad sneakers amorcera son retour dans le courant du printemps. Pour l’occasion, la sneaker de luxe s’offrira une poignée de nouveaux coloris. Il va être question de quatre paires en tout et pour tout, oscillant pêle-mêle entre des coloris jaune fluo, gris, blanc, beige et noir. Une fois encore, il faudra compter aux alentours de 700 euros pour espérer s’offrir l’un de ces modèles inédits. Un tarif à mettre en perspective avec cette paire de claquettes Balenciaga lancée il y a peu chez le revendeur japonais Isetan, et facturée la bagatelle de 545 euros. Vu sous cet angle, la Triple S pourrait presque être présentée comme une bonne affaire. Presque.
