Pour une surprise, c’en est une…. Les auteurs du cambriolage dont a été victime Kim K. l’an passé expriment des remords.
Kim Kardashian aurait-elle eu affaire à des gentlemen cambrioleurs après tout ? Il serait présomptueux de l’affirmer, voire même carrément déplacé, étant donné la violence du braquage dont la jeune femme aura été victime fin 2016. Et pourtant, les auteurs du méfait ont fait part de leurs regrets.
10 mois plus tard
De passage dans la capitale à la fin de l’année 2016, Kim Kardashian aura été victime d’un braquage dans son hôtel particulier. Le préjudice matériel, estimé alors à plusieurs millions d’euros, fut malgré tout relativement marginal vis-à-vis du préjudice moral. Traumatisée, la star de télé-réalité se sera fait bien plus discrète depuis les faits, et ses apparitions publiques sont désormais bien moins appuyées qu’auparavant. Ceci étant, 10 mois après les faits, deux des braqueurs accusés d’avoir agit dans la nuit du 3 octobre 2016 sont rapidement revenus sur leur geste, comme le rapportent TF1 et LCI.
Des justifications osées
Questionné par une juge d’instruction le 19 juin dernier, l’un des compères a presque sorti les violons : « Ben, c’est dur, ce qu’elle raconte, la manière dont elle l’a vécu. […] C’est un peu difficile, je ne sais pas quoi vous dire ». Avant d’aggraver sans doute un peu plus encore son cas : « Des regrets, j’en ai, j’en ai eu dans les cinq minutes après avoir quitté les lieux car je n’ai pas aimé la situation, le flottement, les hésitations, il y a eu toute une ambiance, un contexte qui ne m’a pas plu du tout. […] Après cette lecture, je regrette amèrement mais je ne peux pas revenir en arrière. […] Si j’avais su qu’il y avait autant de monde à ce rendez-vous, je ne serais pas venu car, trop de monde, ça porte toujours la poisse« . Pas sûr que cette dernière explication finisse de convaincre la juge : évoquer ses méfaits passés et son expérience dans le cambriolage publiquement n’est sans doute pas l’idée du siècle. Le second accusé, pour sa part, affirme avoir dit à la star « de se taire en français ». « Je voulais la rassurer. J’étais venu dans le but de bousculer quelqu’un et de repartir ». Selon ses dires, il ne souhaitait pas mettre « cette dame dans cet état » et a même « pensé à partir sans rien prendre. » Incroyable n’est-ce pas ?