Le troisième chapitre de sa série entamée avec le titre « Paradis »…
Du côté de Marseille, un rappeur validé par les plus grands noms de la ville se fait une place de plus en plus importante dans le paysage. Un phocéen qui répond au nom de Kofs et qui fait sa loi son après son. Aujourd’hui, il revient avec son dernier visuel baptisé « Génèse », troisième chapitre de sa série #Kofstantine…
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Kofs tourne les pages jusqu’au chapitre III de son #Kofstantine
Notamment vu au cinéma dans « Chouf », un film sans concession sur le trafic de drogues à Marseille réalisé par Karim Dridi, Kofs continue son chemin dans le rap avec une patte bien à lui. Du genre à travailler son écriture, le bonhomme livre ses textes avec une voix rauque et grave. Aujourd’hui il nous revient avec un projet assez original… En effet, ce dernier s’est lancé dans une sacrée entreprise pour nous balancer ses trois derniers visuels. Les clichés? Ce n’est pas pour lui. Pour preuve nous voici avec une histoire baptisée #Kofstantine, divisée en trois chapitres.
Mon avocat est feuj, mais les armes sont russes et la pute est bulgare. On fait du haram, enfer ou paradis on se reverra plus tard
Ainsi, après les réussis « Paradis » et « Maître Cohen », nous avons désormais droit à l’épisode « Génèse » sous la caméra de COMM. Après un dernier volet consacré à son avocat, on le retrouve à la fois déterminé, mais également en proie à ses démons. Le coup d’oeil vaut le détour, on croise le rappeur entourré de personnes dont les âmes ont l’air d’avoir été vendues au diable. Il est question de gros billets, d’honneur et des péché. Face au micro, Kofs s’ouvre et rappe comme s’il était dans une sorte de confessionnal, comme le prouve cette fameuse phase : « J’parle à mon ombre, ange ou démon je ne sais plus qui je suis« .
