Une démarche très commentée.
Découvert par le biais du morceau Raspoutine, Ziak s’est rapidement imposé comme l’un des visages de la drill en France. Très actif ces derniers temps, le rappeur sort des sentiers battus en imaginant une démarche articulée autour du NFT.
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Ziak se lance dans le NFT
Depuis quelques mois, nous assistons à une effervescence autour du phénomène des NFT (Non-fungible token ou jeton non fongible). Pour faire simple, il s’agit de jetons cryptographiques qui une fois appliqués au monde de l’art vont vous permettre de devenir propriétaire unique d’un morceau, d’une vidéo, etc. L’artiste électro Jacques proposait récemment à ses fans de faire l’acquisition des NFT de son nouveau titre. Le rappeur Ziak pousse la réflexion un cran plus loin. Cultivant son image de personnage mystérieux, il annonce sur les réseaux la mise en circulation du Zi-Hash, «un Cryptoshit produit en série limitée, au nombre de 500 barrettes et 10 plaquettes». Comptez 0.01 ETH (Ethereum) pour une barrette et 0.2 ETH pour une plaquette, soit respectivement 23 euros et 467 euros. Une façon comme une autre d’investir ? Quoiqu’il en soit, l’artiste fait à son tour partie de ces acteurs qui tentent de secouer les codes de l’art contemporain, en jouant cette fois avec une symbolique forte.
