Arrivé en Catalogne en 2017, l’international français n’a jamais réellement convaincu Josep Maria Bartomeu.
Il y a quelques semaines, le cuisinier d’Ousmane Dembélé faisait plusieurs révélations importantes concernant l’hygiène de vie de ce dernier notamment, histoire de réfuter toutes les rumeurs qui circulaient à ce sujet. Dans la même période, les dirigeants du FC Barcelone avouaient aussi qu’ils étaient en partie responsables des blessures à répétition de l’international français, avec en ligne de mire un entraînement pas axé sur les efforts fournis par Dembouz sur le terrain. Malgré ces déclarations, qui avaient fait grand bruit, le club catalan ne compterait plus sur le champion du Monde 2018, et pourrait même le vendre cet été.
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Dembélé vendu dès cet été ?
Arrivé en Catalogne à l’été 2017 en provenance du Borussia Dortmund et contre quelque 140 millions d’euros, Ousmane Dembélé rejoint Lionel Messi et ses coéquipiers avec le statut de jeune espoir international. Trois ans plus tard, force est de constater que la greffe n’a jamais pris. En cause, les blessures à répétition du joueur de 22 ans depuis son arrivée. En trois ans, l’international aux 21 sélections avec les Bleus a participé à 75 rencontres sur 154 possibles. Un ratio inquiétant, qui aurait convaincu Josep Maria Bartomeu et son équipe à mettre en vente le joueur dès cet été, comme l’affirme le journal espagnol AS. Reste à savoir si les blaugranas réussiront à récupérer une partie de l’argent investi lors de l’achat du Français.
Un départ de Dembouz pour anticiper l’arrivée de Neymar ?
Le malheur des uns fait le bonheur des autres, celui de Dembélé pourrait ravir Neymar. Courtisé par son ex-club depuis son arrivée au PSG, l’international brésilien pourrait être autorisé à partir par le club de la capitale, à condition que le club acheteur investisse les 150 millions d’euros demandés pour le champion Olympique. Une revente de l’ailier français pourrait permettre au club catalan de récupérer quelques indemnités histoire de conclure le feuilleton Neymar, qui avait connu son épicentre l’été dernier.
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