Et non, ce n’est pas une blague…
Parfois, certaines recherches sur internet peuvent vous laisser sur les fesses, alors quand il s’agit de celles sur des sites classés X, n’imaginons même pas… L’imagination, c’est bien ce qui a fait la différence chez de nombreux internautes visiblement chauds en ce début d’automne, au moment de se rendre sur Pornhub. Un tube qui abrite des vidéos pas très catholiques, répertoriées sous forme de tags assez célèbres (que nous ne listerons pas ici). Des tags qui accueillent désormais un nouveau venu, le fameux « Joker Porn ». Explications.
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Plus de 750 000 recherches en quelques jours…
Avec son dernier film Joker, évidemment consacré au célèbre ennemi de Batman, le réalisateur Todd Phillips a signé un coup de maître. Au menu de l’exploitation du long-métrage : des critiques dithyrambiques, un carton au box-office et toujours plus d’influence au sein de la pop culture pour le super vilain d’abord présent dans les pages éditées par DC Comics.
Et c’est là qu’on s’aperçoit qu’après avoir bien campé dans la pop culture, le Joker est allé voir ce qu’il se passait du côté de la porn culture. Ni une, ni deux, quelques jours après la sortie du film dans les salles, le site Pornhub a enregistré un nombre dingue de recherches estampillées « Joker Porn ». On parle aujourd’hui de plus de 750 000 recherches, plus d’une semaine après la sortie du projet.
Néanmoins entre deux vidéos chargées de vous spoiler, vous serez loin de vous retrouver nez à nez avec le visage maquillé de Joaquin Phoenix. Mieux vaut vous prévenir, il s’agira avant tout de parodies à sens unique, avec très peu d’intérêt cinématographique. Bref, pour l’oscar, on repassera, bien qu’on préfère cela aux possibles violences de masse évoquées par le FBI et l’armée US.
Joaquin Phoenix a cru devenir fou
Joker, un succès dans les salles notamment dû à une grosse performance de Joaquin Phoenix. Un acteur qui a bien cru devenir fou à force de se mettre dans la peau du clown démoniaque, comme il l’a expliqué au Hollywood Reporter : « Il apparaît que ça affecte votre psychologie. Vous commencez à devenir fou. […] Lors du tournage, chaque jour nous découvrions de nouvelles parties de sa personnalité, jusqu’au dernier jour. […] Ce fut son combat pour trouver de la joie, se sentir connecté aux autres, sentir de la chaleur et de l’amour. C’est la partie du personnage qui m’a intéressé. Celui qu’il était lors des premières semaines de tournage n’avait rien à voir avec celui qu’il était devenu à la fin. Il était en constante évolution. Je n’ai jamais eu d’expérience de ce genre. Plus il était imprévisible, plus il devenait un loser, plus c’était excitant. »
