La superstar sème à nouveau le doute.
Aura-t-on l’occasion de découvrir R9, le supposé nouvel album de Rihanna, avant la fin de l’année 2019 ? Si la branche française d’Universal Music annonce le projet pour le mois de décembre, en réalité, aucune communication officielle de la chanteuse n’a encore été actée. Sauf peut-être sur la couleur musicale de l’album.
À LIRE AUSSI
Les nouveaux albums de Drake et Rihanna avant la fin de l'année ?
Rihanna fait évoluer son registre musical
Ce n’est pas un secret : le nouvel album de RiRi profitera d’une touche reggae prononcée. La principale intéressée l’a d’ailleurs répété dans le cadre d’une interview accordée à Vogue, tout en précisant son propos : « Ce ne sera pas reggae comme vous pourriez le supposer. Mais vous allez en ressentir les éléments sur chacun des titres. Le reggae a toujours eu un écho en moi. J’ai ça dans le sang. Ce n’est pas important que je sois éloignée de cette culture […] ça ne part jamais. Même si j’ai exploré d’autres genres musicaux, il est temps de revenir à quelque chose que je n’ai jamais accueilli sur un projet en bonne et due forme. »
Le successeur tant attendu d’Anti, le dernier LP de la chanteuse sorti en 2016, sera donc à la fois influencé par les travaux de Bob Marley et par la patte du producteur Supa Dups, réputé pour avoir par exemple travaillé avec Beenie Man et Sean Paul.
La musique en ligne de mire
Et que les fans de Rihanna se rassurent, si elle a effectivement mis le cap sur des business annexes à la musique, c’est bien ce dernier pan de sa carrière qui semble toujours lui importer le plus : « La musique, c’est comme de parler un code au monde entier, qui le comprend. C’est un langage étrange qui me connecte à eux. Moi designer, moi la femme qui créé maquillage et lingerie, tout a débuté avec la musique. C’est mon premier échange avec le monde. Me couper de cela, c’est couper toute communication. Toutes ces autres choses fleurissent de par cette fondation. »
A noter enfin que RiRi sortira prochainement son premier livre, qui a été décrit comme une « autobiographie visuelle. »
