Nicole Young balance.
Le divorce entre Dr. Dre et Nicole Young est en passe de déraper complètement. Après avoir réclamé 2 millions de dollars de pension par mois, l’ex-future épouse du Docteur affiche sur la place publique ses supposés accès de violence psychologique.
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Un divorce qui dérape
Affirmant que Dre aura été manipulateur dans la façon de gérer sa fortune au moment de son divorce, Nicole Young est loin de faire profil bas. Qu’importe que le producteur de renom l’ait visiblement menacé d’une guerre ouverte si elle venait à lui manquer de respect publiquement, sa femme attaque sans retenue. Pour justifier les 2 millions de dollars qu’elle lui réclame mensuellement au titre de pension temporaire, elle évoque les accès de violence de son époux. Plus précisément, elle évoquera un dérapage ayant pris place à Malibu en avril dernier, où un Dre ayant trop bu l’aurait invité à se «faire foutre» et à «dégager», avant de lui envoyer des messages jugés «effrayants». Elle évoquera aussi «des antécédents de violence et de contrôle coercitif, tant avant que pendant le mariage.» Pour l’anecdote, dans l’enveloppe de 2 milions de dollars réclamée par Nicole Young, 10 000 dollars seraient entre autre destinés à régler les frais de pressing et de ménage, 135 000 dollars pour les vêtements, 900 000 dollars pour les loisirs ou encore 100 000 dollars pour assurer les traites du prêt en cours.
Un passé trouble pour le Docteur
Par le passé, plusieurs femmes auront fait entendre leur voix, pour se plaindre des supposées violences physiques infligées par le rappeur/producteur. Le principal intéressé l’avait même admis dans le cadre du documentaire HBO The Defiant Ones, revenant sur l’agression de la journaliste Dee Barnes au début des années 90 : «Quiconque lève la main sur une femme est un put*** d’idiot. Il faut être un malade mental et j’étais un de ceux-là à l’époque. J’ai déconné, j’en ai payé le prix, je suis désolé.» Egalement, la chanteuse Michel’le, que Dre rencontrera à la fin des années 80 alors qu’elle était signée sur le label Ruthless Records de Eazy E, avait dépeint un constat peu glorieux de l’homme. Elle expliquera avoir été victime de sa rage et de ses frustrations lorsqu’il buvait plus que de raison.
