Une sacrée performance !
Récemment, la scène francophone ne cesse de prendre de l’importance au point de résonner dans toute l’Europe. En ce jour, c’est un article du prestigieux journal, le New York Times, qui a mis en avant notre musique locale.
À LIRE AUSSI
Booba, Future, Aya, Vald et Zola réunis dans un seul et même endroit !
Les Etats-Unis à leurs pieds
Comme vous avez pu le voir, le concours de l’Eurovision a eu lieu plus tôt durant le mois de mai à Tel Aviv, en Israël. En parallèle de cet événement, le New York Times a signé ce mercredi 22 mai un article intitulé EURO POP qui braque les projecteurs sur quinze talents européens issus de quinze pays européens. Parmi ces derniers figurent la France et la Belgique. Pour représenter l’Hexagone, le célèbre journal a jeté son dévolu sur Aya Nakamura. La jeune chanteuse a transpercé les frontières avec sa musique envoûtante et dansante cristallisée dans son dernier album en date, Nakamura. Ses plus gros hits tels que Djadja, Copines, La dot ou encore Pookie sont écoutés non seulement partout en France mais également dans le reste de l’Europe. Pour l’artiste, c’est une nouvelle consécration après sa nomination aux BET Awards dans la catégorie Best International Act ou encore la mention de son nom dans le magazine Forbes.
Sans surprise, la musique originaire de Belgique a été mise en lumière par le New York Times à travers la sélection d’Angèle. Elle a su conquérir le plat pays mais également le reste de la francophonie européenne grâce à sa pop universelle qui a su plaire à des publics de tous les âges. La chanteuse a été bien aidée par des titres à l’impact fort comme Tout oublier, Balance ton quoi, La thune ou encore Ta reine, tous disponibles sur son premier album studio BROL. Celle que l’on qualifiait autrefois « la soeur de Roméo Elvis » a su s’affranchir complètement de ce dernier.
