Un moment bouillant !
Vous l’avez vu il y a quelques jours, après notre journaliste Thomas Guisgand, c’est le Booska Colombien Nico qui a pris le relais en ce qui concerne les insides tournés au sein du festival Les Ardentes. Après avoir accompagné le groupe Columbine et Diddi Trix, nous sommes aujourd’hui en compagnie d’un régional de l’étape ou presque, Roméo Elvis. Belge de son état, le Bruxellois a pris d’assaut Liège le temps d’un concert bouillant…
À LIRE AUSSI
Roméo Elvis partant pour un album commun avec Angèle
Bruxelles débarque à Liège
Les Ardentes, un festival incandescent, grâce notamment à des artistes toujours en feu. C’est le cas d’un Roméo Elvis qui sait y faire quand il s’agit d’enflammer son public. Ainsi, ce bruxellois arrivé à Liège a choisi de faire les choses en grand, comme à son habitude. Maillot du Standard sur le dos, fait inédit pour un artiste made in BX, il a envoyé du très lourd pour un pogo d’anthologie. Energique, communicatif, toujours aussi bon dans l’interprétation, Roméo aura marqué de son empreinte cette édition 2019, sous l’oeil d’un Booska Colombien Nico qui l’aura suivi évidemment avant, pendant et après sa performance. L’occasion de parler chocolat, football et préparation sportive…
La scène comme une seconde maison
Interviewé à l’occasion de la sortie de son projet Morale 2 Luxe, Roméo Elvis avait, déjà, clamé son amour du live. Une seconde maison pour un artiste qui s’est classé comme une véritable bête de scène au fil des ans : « Je ne vis que pour ça. J’en parle dans Pogo, c’est exactement ça. Un disque d’or, des millions de vues, des plateaux de télévision… Tout ça c’est cool, mais un festival rempli, ça me fait jouir 16 fois. C’est ça que je veux faire de ma vie : remplir des salles et jouer devant des gens. C’est l’énergie la plus palpable, je ne vis que pour ça. Je mets toutes mes forces là-dedans ».
