50 Cent sent le vent tourner.
Peut-être n’était-ce pas l’idée du siècle de Fifty que d’afficher publiquement son soutien à Donald Trump. Régulièrement accusé d’attiser les tensions raciales aux États-Unis, l’ex-magnat des affaires n’est désormais plus en odeur de sainteté outre-Atlantique. Et à quelques jours de l’élection présidentielle américaine de 2020, 50 Cent est conscient que son accolade offerte à Donald ne passe pas.
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Une décision très critiquée
Il y a quelques jours de cela, Fifty prenait tout le monde de court en tançant la politique de Joe Biden, actuel rival de Donald Trump dans la course à la Maison Blanche, qui souhaite lancer une politique taxant les plus riches : « Je me fous que Trump n’aime pas les noirs. 62% [de taxes], êtes-vous devenus fous ? Ouais, je ne veux pas devenir 20 Cent. 62%, c’est une très, très mauvaise idée. »
Mais en se rangeant du côté des républicains, l’interprète de In Da Club ne s’est pas franchement fait que des amis. Jusqu’à son ex, l’actrice et humoriste américaine Chelsea Handler, qui lui a proposé de lui payer ses impôts s’il rétractait son soutien à Trump. « Jusque-là, tu faisais partie de mes ex préférés » écrira-t-elle.
Fifty blessé dans son égo ?
Bref, après cette mauvaise passe, Curtis Jackson semble vouloir revenir sur ses dires. Il s’est en expliqué, à sa façon, sur son compte Instagram : « F*** Donald Trump, je ne l’ai jamais aimé. Pour ce que je sais, il m’a piégé et à fait tuer mon pote Angel Fernandez, mais c’est une autre histoire. LOL. »
Du grand Fifty, comme d’habitude. Reste que Trump pourra toujours compter sur le soutien pour le moins inattendu de Lil Pump. L’interprète de Gucci Gang a clairement validé l’actuel président dans une publication Instagram : « Tout ce que j’ai à dire c’est Trump 2020 pétasse ! »
Le message est passé…
